- Le grand filet carré servant pour l'épreuve est suspendu au treuil d'une ancienne grue en bois, fixée au mur et au plafond, au-dessus de la porte qui donne à l'extérieur de la cellule. Cette grue fait partie des éléments d'origine du fort, et elle servait à l'époque pour l'ancien havre d'abordage (disparu aujourd'hui), situé en contrebas à l'extérieur de la cellule. Pour l'épreuve en elle-même elle est équipée d'une poulie et d'une corde pour pouvoir soutenir le filet de l'épreuve contenant les balles de coton. Présente depuis toujours dans la cellule 119, elle est réellement mise en valeur qu'avec l'épreuve des Balles de coton.
- Historiquement, une balle (ou un ballot) de coton permet de transporter facilement une quantité de coton en vrac, dont l'emballage est fait avec une toile de jute. Sur le fort, le thème de la cellule fait donc référence aux transports de marchandises entre les continents. Chaque balle de coton possède le nom d'une capitale, ou d'une grande ville, d'une port international très connu (orthographe anglaise) : Amsterdam, Athens, Bangkok, Barcelona, Bogota, Bombay, Brasília, Cairo, Calculta, Cape Town, Caracas, Cayenne, Chicago, Halifax, Helsinki, Istanbul, La Paz, Lima, Londres, Macao, Manila, Melbourne, Mexico City, Miami, Montevideo, Moscow, New Delhi, New Orleans, Nouméa, Quito, Rome, San José, Santiago, São Paulo, Shanghaï, Sydney, Vancouver, Vienna, Yaoundé et Zanzibar.
Les noms sont notés en noir sur les balles de coton, mais ils deviennent moins lisibles au fil des saisons.
- En 2011, la cellule est décorée sur le thème de la jungle.
- En 2013, le coffre contenant le nom de la première balle de coton est peint en rouge.
- Depuis 2015, une partie des balles de coton sont visibles au Fort Liédot de l'Île d'Aix, dans la cadre de l'exposition "Les Mystères de Fort Boyard".